En avril 2012, le gouvernement Harper réalisait l’une de ces promesses électorales avec l’abolition du registre des armes d’épaule à grandeur du Canada. Un geste économiquement et socialement intelligent dont notre premier ministre du Québec, Jean Charest, ne semble pas avoir compris toute la subtilité!
Passé maître dans le gaspillage des fonds publics, le gouvernement du Québec a envoyé ces « Shyster » (avocats) en Cours suprême dans l’espoir de récupérer les données des propriétaires d’armes d’épaule inscrit au registre fédéral. Pendant que nos taxes et nos frais scolaires augmentent et que les services envers la société diminuent, les avocats du Québec armé de fausses convictions tentent de faire valoir que l’information fournie au fédéral par Québec devrait lui être retournée sous prétexte que la province a contribué à la constitution du registre et qu’elle veut aveuglement en soutenir le maintient.
Ce sujet longuement abordé dans des articles du passé par nos chroniqueurs va au-delà d’un simple registre. Advenant une victoire du Québec, on devra alors revoir la partie de la loi fédérale prévoyant, au-delà la fin du registre, la décriminalisation de la possession d’une arme d’épaule non enregistrée. Un droit fondamental qui mérite d’être défendu dans une société libre comme la nôtre!
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