Avec votre « idée géniale » de ramener la gestion de l’inutile contrôle des armes à feu à la province, ca va nous coûter des milliards à nous les québécois….
Au lieu d’être pogné à partager cette stupide facture avec tous les canadiens, pourquoi ne pas nous en donner une autre grosse facture juste pour nous les québécois ?!
Et pourquoi pas faie un registre pour Montréal aussi ?! Une autre facture inutile !
Le problème n’est pas les armes à feu, le problème c’est les personnes malades.
Aucun registre n’y a jamais changé quelque chose et n’y changera jamais rien !
Le projet de loi Anastasia, visant notamment à interdire toute arme des établissements scolaires et des transports publics, est ridicule !
Pourquoi aurions-nous besoin d’une loi pour savoir que les jeunes n’ont pas le droit d’aller à l’école avec un fusil !??!?
Ont-il le droit des apporter actuellement ? On a un méchant problème avec nos politiciens !
Allons-nous passer une loi pour nous obliger à manger nos trois repas par jour ?
Bonjour cher lecteur et lectrice!
À mon tour d’apporter ma petit contribution à ce blog par mes écrits. Si j’étais vous, je ferais laminer ce texte, car ils ne seront pas nombreux, car j’occupe majoritairement mon temps au bon fonctionnement de ce site! 🙂
Passons directement au vif de mon sujet! Comme premier article, j’ai choisi de vous parler de ma première expérience de chasse aux canards dans les marais du Lac St-pierre. Ça faisait déjà un petit bout de temps que je n’avais pas pratiqué de chasse et cela commençait à me manquer beaucoup. J’ai alors décidé de partir à l’aventure en compagnie de mon père et son groupe de chum pour la chasse aux canards.
Deuxième journée de chasse à la bernache du Canada… fidèle au réveil matin, nous partons rapidement car nous avons décidé la veille de mettre trois douzaine d’appelants de bernaches cette fois-ci. Pour faire un peu différent, mais aussi pour faire un plan plus imposant, sans toutefois être trop agressif en mettant tous nos appelants de bernaches
L’aube approche… l’horizon s’éclaircie, puis le soleil commence à poindre peu avant 6h00… On surveille presque tout le temps l’endroit, la tête des arbres, d’où sont arrivées les bernaches hier. En vain. Rien. Puis soudain une famille de 7 bernaches passent au loin et s’en va en ligne droite directement dans le même champ que la veille. Sauf que cette fois-ci, il y a de la visite. Une pétarade. Aucun survivant. Nous n’avons vu qu’une seule autre bernache solitaire au loin.
Vers 11h00 on quitte l’endroit en ce disant qu’il est inutile de revenir le lendemain.
Peut-être dimanche ?
C’est dur la chasse à la bernache du Canada résidente.
Il y a en a, ou il y en a pas.
Elle sont volages, ou fidèles à leur champ nourricier.
Ca y est ! Enfin ! L’ouverture de la chasse !
Lever à 4h00 du matin… il faudra s’y faire… On vérifie sur Internet notre météo nationale et la direction du vent : ils n’annoncent pas de pluie. Good. Vent prévu du Sud Est. Excellent… le vent est du « bon bord » pour le champ que nous avons sélectionné en fin de semaine dernière.
Notre terrain de chasse est à plus de trente minutes de route… Le cousin Philippe n’a pu se libérer à son travail… nous sommes donc deux chasseurs remplis d’espoir en cette nuit noire, remplie de nuages. Malgré la météo prometteuse, il se met à pleuvoir !?
Rendu en bordure de notre champ, nous nous chargeons comme des ânes et parcourons le champ jusqu’à l’emplacement idéal en fonction du vent. Nous installons uniquement une vingtaine d’outardes, ce qui devrait amplement suffire. Puis nous attendons… Nous sommes déjà trempés car la pluie a cédé la place à l’orage… Les éclairs parsème le ciel et la pluie violente s’abat sur nous. Maudite météo!
Puis vient le moment tant attendu…. On entend au loin quelques cris d’outardes… Les cris se rapprochent. Nous les repérons entre les arbres au loin… Elles s’en viennent dans notre direction… C’est le temps de laisser aller quelques calls…
Je vais vous illustrer de quelle façon nous avons procédé pour la construction de nos caches pour la chasse au canard dans le marais de mon oncle. Je vous ai même préparé un petit schéma, en mode plan 3D, de la cache sur l’ordinateur…
Idéalement, il faut débuter par trouver un endroit dans le marais où les joncs sont suffisamment hauts pour camoufler les chasseurs une fois assis dans la cache. Si un tel endroit n’est pas disponible, alors il vous faudra adapter les plans présentés dans cet article pour en tenir compte. Il vous faudra alors planifier plus de 2 x 4, ou même des 2 x 3 afin de tenir la jute (ou autre) qui constituera votre camouflage.
Dans notre cas, nous avons la chance d’avoir du foin suffisamment haut pour être bien camouflé même lorsque l’eau est haute. Il s’agit d’un aspect important. N’oubliez pas de planifier la hauteur du plancher de votre cache en fonction du niveau d’eau maximum que le marais peut atteindre avec les pluies d’automne.
Une fois trouvé l’endroit idéal, commencez par planter votre premier piquet 2×4.
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