J’ai été à la banque de Montréal la semaine dernière pour l’ouverture d’un compte et des conseils sur certains placements que j’aimerais effectuer. J’ai reçu de très bons conseils. Mon nouveau conseiller financier m’explique tout cela très clairement et répond à plusieurs à toutes mes questions sans empressement.
J’étais content car j’étais devant quelqu’un de compétent et j’avais obtenu un rendez-vous le lendemain de mon appel. Et lors de cet appel, ce n’est pas à une machine que j’avais parlé, mais bien à un humain !
Vers la fin de notre rencontre, après la signature de la tonne de formulaire, mon conseiller me parle de la belle température, de l’impact du refroidissement des derniers jours en terme, du travail de préparation hivernale que cela occasionne pour sa fermette. Mon conseiller financier m’informe qu’il possèdent deux chevaux, des chèvres, des poules, plusieurs chiens, au moins 7 chats consignés dans la maison… d’ailleurs, le deuxième étage de la maison est réservé aux chats. Oui oui.
Toujours dans la même lignée, nous vous avons monté une petite liste de cinq cadeaux de Noël pour chasseur de canard qui sauront sans aucun doute faire bien plaisir à votre amant des courants d’airs… 😉
- Casquette camouflage : un chasseur en a toujours besoin de deux ou trois…
- Courroie de transport d’oiseau : permet de facilement transporter nos prises Vous pouvez trouver un modèle chez SAIL
(code 274-00609-64 Marque: Hunter’s Specialties )
- Bâton crochet pour récupérer les appelants flottants : épargne beaucoup de travail et améliore la relation entre le gars d’en avant et le gars sur le moteur ! (vous pouvez le faire vous même à partir d’un vieux baton de ski auquel vous aurez inséré un gros crochet au bout)
- Petit sac bandoulière : pour le p’tit lunch, ou les balles ou les appeaux, … toujours besoin !
- Une paire de jumelles compactes : bien utile pour voir de plus proche
Sur la photo : Courroie de transport fabriquée maison…
C’est deux Newfies qui reviennent de leur première journée de chasse au canard avec un chien de chasse.
Ils sont complètement fatigués, exténués, épuisés, éreintés, ils ont mal au dos…
Écrasés sur le divan devant la télé, ils discutent de la stratégie pour la chasse du lendemain.
– Ouf… méchante journée
– Mets-en ! Je suis mort. C’est dur la chasse au canard
– Pour demain, il faut qu’on trouve un truc…
– Oui, il faut trouver un truc pour lancer le chien plus haut.
Quelle belle journée ensoleillée! Cela n’en prenait pas plus pour que moi et Geneviève partions pour les îles de Berthier en Mauricie. Ces îles font parties de l’archipel du Lac Saint-Pierre qui est membre en règle de l’UNESCO depuis 2000. On y retrouve des milliers d’espèces d’oiseaux qui y passent toute l’année. Une suggestion de ma petite sœur Luce qui en avait parlé à Geneviève comme un paradis pour l’observation des oiseaux.
Une fois à Berhierville, nous avions prévu s’informer à l’infoTourisme de l’emplacement exact du site. SURPRISE, le bureau touristique était fermé pour l’hiver manque de touriste dans le coin. La panique! On fait quoi? Où on va? Vous comprendrez que je devais vite trouver une solution héroïque avant que la situation vire en cauchemar! Un flash me vient à l’idée! Subtilement, je demande à ma blonde de s’arrêter à la station-service, car j’ai besoin d’aller aux toilettes! Vous me voyer venir!? 😉 Une fois à l’intérieur, j’ai demandé les clés pour les toilettes, mais également de l’information au sujet du sentier pédestre de l’île de Berthier! Une fois revenu dans l’auto, j’ai proposé à Geneviève de revenir sur nos pas, car j’avais vu une enseigne sur laquelle est inscrit le nom de la place que nous cherchons. Elle accepta mon offre et en moins de deux nous étions rendus sur place.
Jumelles en main pour moi et caméra pour Geneviève, nous sommes partis à l’aventure dans ce sentier des plus merveilleux. Je regrette juste de ne pas êtes venu quelques semaines auparavant. Les couleurs d’automne auraient complètement enchanté les lieux! Nous avions à peine fait une centaine de pas que rapidement le vent du Nord est venu nous refroidir la nuque! C’est à ce moment précis que je me suis mis à regretter de ne pas m’avoir habillé plus chaudement. Toujours plus brillante (futée) que moi, Geneviève était bien heureuse d’avoir apporté son manteau d’hiver pendant que moi je gelais avec mon coupe-vent. 🙂
Mes espoirs de voir des canards étaient très grands lorsque nous sommes partis, mais rendu au ¾ du trajet nous n’avions toujours rien vu. Geneviève s’est donc rabattue sur mon joli body de top model pour ses photos!!
Sur le chemin du retour, nous avons eu droit à plein d’action. Comme s’il ne faisait déjà pas assez froid avec se vent du Nord, il a fallu qu’il se mette à grêler, non excusez-moi « à neiger » selon Geneviève! 😉 Anyway, voici une photo que Geneviève a prise, à vous d’en tirer votre propre conclusion! 🙂
Le plus beau moment fut lorsque nous étions à quelques mètres de la fin du sentier lorsque j’aperçus une femelle malard accompagné de trois (3) splendides malards mâles avec leurs couleurs flamboyantes d’automne.
Finalement une fois à l’auto, j’ai ouvert le coffre pour y mettre le trépied ainsi que la caméra. Que ne fût pas ma désolation lorsque j’y ai vu ma paire de gangs et ma tuque d’hiver! {Soupir}
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