Hé oui, maintenant, avec l’arrivée de la saison printanière de la chasse au dindon sauvage, nos douces doivent nous endurer en dehors de l’automne ! 😉
Bah, quand on est à la chasse… on fait pas de mauvais coup… 😉
Voici une petite de Cadeaux de Noël pour chasseur de dindon sauvage
- Un coussin siège pour le sol : c’est moins dur sur le moral et protège de l’humidité
- Un parapluie écran camouflage : permet de cacher nos petits mouvements de jambes
- Un masque camouflage pour le visage : une nécessité pour contrer l’œil perçant de nos amis les dindons sauvages
- Un paquet de « pad chauffant » pour les mains : ouf… c’est froid le printemps !
- Un cache-cou : c’est pas chaud le printemps tout le temps
Voilà, c’est bref, mais ce sont des élémens essentiels pour nos printemps pas toujours commode… et comme il ne faut surtout pas bouger… il faut être au chaud et bien caché.
Comme à toutes les années depuis déjà 5 ans, je prends une semaine de vacances pour aller à la chasse aux chevreuils avec mon partenaire de chasse par excellence. Vous aurez bien sûr deviné que je parle de mon cousin Alain et cocréateur du blog émotion chasse et pêche. Cette année a été une année vraiment exceptionnelle en péripéties de tout genre. J’ai donc décidé de vous compter tous les événements aussi absurdes les uns que les autres. J’espère bien que cela vous fera rire de bon cœur! 😉
Le tout a commencé au premier jour de chasse au chevreuil. Tout excité et empressé d’aller m’installer dans mon treestands, moi, Alain et mon oncle Gilles sommes parties sac à dos sur les épaules et carabine à la main. Je devais avoir oublié de mettre ma tête sur mes épaules cette journée-là, car une fois aux trois quarts (3/4) du trajet, finfinaud comme je suis, j’avais oublié mes crochets dans le truck! Vous imaginez une seconde dans quel pétrin je venais de me mettre. Par chance, j’ai pu compter sur Alain pour venir à mon secour, malgré son découragement flagrant!! 🙂
Chasser l’outarde dans un champ de soya ?
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L’an dernier nous avons la chance de chasser l’outarde dans un champ dont une portion avait été cultivée en mais et l’autre moitié en soya. Le propriétaire de l’un des champs où nous chassons l’outarde avait ainsi semé son champ. Notre bonheur fut de découvrir un certain matin que le champ de soya avait été récolté mais pas le blé d’inde.
Nous nous sommes installé en bordure du champ de mais sans lequel nous nous sommes facilement dissimulés.
Laissez-moi vous dire que nous avons eu beaucoup de succès. Énormément de voiliers d’outardes se sont littéralement « garrochés » dans nos appelants.
Les outardes devaient probablement avoir découvert ce petit garde-manger très riche quelques jours auparavant.
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La chasse fut courte, mais nous sommes restés un peu plus longtemps question d’observer les oiseaux et prendre quelques photos.
Parfois on peut se demander qu’est ce que les ours polaire peuvent bien manger dans notre grand nord québécois…. il y a tant de glace…. mais de la glace… il va en manquer à cause du réchauffement climatique… oh non… que vont-ils faire ? Où les ours polaires vont-ils trouver leur nourriture ?
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