Je vais vous raconter nos démarches et façons de faire dans nos quêtes perpétuelles afin d’être capable d’exercer un de nos droits les plus fondamentals… la chasse !
Dans ce premier article, j’explique principalement le Comment trouver un terrain de chasse alors que dans un second article je continerais et expliquerais comment aborder et Comment demander la permission pour chasser aux agriculteurs.
Notre groupe de chasseur a la chance d’avoir l’autorisation de chasser sur plusieurs propriétés privées en Montérégie. Cela est le fruit d’une quête perpétuelle de plus de 15 ans. Je parle de terrain pour la chasse à l’outarde, canard et oie blanche, mais aussi de terrain pour la chasse au chevreuil.
Il semblerait que le chasseur n’a pas été à la hauteur cette fois…
une petite joke de chasse au chevreuil pour conclure la saison à la carabine…
On se prépare maintenant pour la saison de chasse au chevreuil à la poudre noire…
J’ai hate !
Plusieurs le prononce ainsi : « Glandes tersiennes« . Mais c’est une erreur…
Il s’agit bien de Glandes tarsiennes et non de Glandes tersiennes
Une seule lettre de différence, mais ça compte…
On voit cette erreur dans plusieurs autres sites web…
Alors maintenant vous le savez…
Alorsne dites plus glandes tersiennes mais plutôt Glandes tarsiennes !
Qu’on se le dise ! 😉
Nous sommes tous dans nos treestands ce matin 5h.
Un matin calme sans vent. Seuls les mulots brisent parfois le silence en se promenant. C’est très difficile à repérer les mulots. Ils courent vite vite vite les mulots. On ne les voit qu’un instant.
Soudain j’entends un gros mulot plus loin. Je me place en position, l’arme sur les genoux. Un chevreuil s’extirpe du bordel de branche habituel vers la droite… parfait… et s’avance vers une belle ligne de tir. Malheureusement, il s’agit d’une femelle. Ou d’un faon. Pas très grand et les branches ne me permettent pas encore de le distinguer adéquatement.
Puis un autre mulot se fait entendre…. mon coeur bat à tout rompre… Il sort du tas de fouillis de branches… mais du côté gauche ! C’est de bon augure car, c’est connu, les mâles restent souvent à l’écart. Il s’avance directement vers moi. Il est à environ 70 pieds. Un tir facile, mais je ne veux pas le tirer dans le poitrail. J’ai mis un X rouge sur la photo pour vous montrer l’endroit exact où il se trouvait quand j’ai tiré.
Il se doute que je suis là. Il regarde constamment dans ma direction. Mais il reste calme. Il continu d’avancer en jetant régulièrement des regards à la femelle. Le « fly » ne s’élève pas. Il me regarde, « lève le nez », hume l’air, toujours plus haut… Avance encore. Jette un regard furtif à sa congénère. Il sait que je suis là. Mais il ne me voit pas. Il ne parvient pas à me distinguer. Vive les treestands. Il est maintenant à moins de 25 pieds de mon arbre…
Voici une petite image d’une joke de chasse à l’ours…
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Je la trouve vraiment marrante….
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Quand tu as des amis comme ça, tu n’as pas besoin d’ennemis !
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