Il semblerait que le chasseur n’a pas été à la hauteur cette fois…
une petite joke de chasse au chevreuil pour conclure la saison à la carabine…
On se prépare maintenant pour la saison de chasse au chevreuil à la poudre noire…
J’ai hate !
Plusieurs le prononce ainsi : « Glandes tersiennes« . Mais c’est une erreur…
Il s’agit bien de Glandes tarsiennes et non de Glandes tersiennes
Une seule lettre de différence, mais ça compte…
On voit cette erreur dans plusieurs autres sites web…
Alors maintenant vous le savez…
Alorsne dites plus glandes tersiennes mais plutôt Glandes tarsiennes !
Qu’on se le dise ! 😉
Nous sommes tous dans nos treestands ce matin 5h.
Un matin calme sans vent. Seuls les mulots brisent parfois le silence en se promenant. C’est très difficile à repérer les mulots. Ils courent vite vite vite les mulots. On ne les voit qu’un instant.
Soudain j’entends un gros mulot plus loin. Je me place en position, l’arme sur les genoux. Un chevreuil s’extirpe du bordel de branche habituel vers la droite… parfait… et s’avance vers une belle ligne de tir. Malheureusement, il s’agit d’une femelle. Ou d’un faon. Pas très grand et les branches ne me permettent pas encore de le distinguer adéquatement.
Puis un autre mulot se fait entendre…. mon coeur bat à tout rompre… Il sort du tas de fouillis de branches… mais du côté gauche ! C’est de bon augure car, c’est connu, les mâles restent souvent à l’écart. Il s’avance directement vers moi. Il est à environ 70 pieds. Un tir facile, mais je ne veux pas le tirer dans le poitrail. J’ai mis un X rouge sur la photo pour vous montrer l’endroit exact où il se trouvait quand j’ai tiré.
Il se doute que je suis là. Il regarde constamment dans ma direction. Mais il reste calme. Il continu d’avancer en jetant régulièrement des regards à la femelle. Le « fly » ne s’élève pas. Il me regarde, « lève le nez », hume l’air, toujours plus haut… Avance encore. Jette un regard furtif à sa congénère. Il sait que je suis là. Mais il ne me voit pas. Il ne parvient pas à me distinguer. Vive les treestands. Il est maintenant à moins de 25 pieds de mon arbre…
Voici une petite image d’une joke de chasse à l’ours…
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Je la trouve vraiment marrante….
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Quand tu as des amis comme ça, tu n’as pas besoin d’ennemis !
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Hé oui, maintenant, avec l’arrivée de la saison printanière de la chasse au dindon sauvage, nos douces doivent nous endurer en dehors de l’automne ! 😉
Bah, quand on est à la chasse… on fait pas de mauvais coup… 😉
Voici une petite de Cadeaux de Noël pour chasseur de dindon sauvage
- Un coussin siège pour le sol : c’est moins dur sur le moral et protège de l’humidité
- Un parapluie écran camouflage : permet de cacher nos petits mouvements de jambes
- Un masque camouflage pour le visage : une nécessité pour contrer l’œil perçant de nos amis les dindons sauvages
- Un paquet de « pad chauffant » pour les mains : ouf… c’est froid le printemps !
- Un cache-cou : c’est pas chaud le printemps tout le temps
Voilà, c’est bref, mais ce sont des élémens essentiels pour nos printemps pas toujours commode… et comme il ne faut surtout pas bouger… il faut être au chaud et bien caché.
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