Ayant entendu des rumeurs laissant croire que la journée obligatoire de formation pour la chasse au dindon sauvage ne serait plus requise, j’ai communiqué avec la Fédération Québécoise de las Faune afin de tirer cela au clair.
Je vous tiendrais informé dès que j’obtiens réponse…
Il s’agirait certes d’une injustice envers les pionniers qui ont tracé la voie…
Se feront-ils rembourser ?
À suivre…
D’ici ce temps là, il nous faudra encore traîner notre beau diplôme dans nos poches dans les bois…
Il y aura encore cette année une chasse au dindon sauvage au Québec. Les chasseurs seront heureux, alors que nos « amis » les ornithologues devront se faire une raison. La chasse au dindon sauvage est là pour rester, puisqu’elle ne nuit pas à la population de dindons.
Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) l’a annoncé par voie de communiqué de presse. Non seulement tout le secteur de la Montérégie est ouvert à cette chasse ce printemps, mais la chasse au dindon sauvage sera permise sur l’ensemble du territoire québécois !
Cependant, la zone 8 sud offrira deux périodes de chasse, soit du 2 au 6 mai ainsi que du 9 au 13 mai alors que la majorité du reste du territoire n’aura que la première période, soit du 2 au 6 mai. Les chasseurs doivent se procurer le nouveau permis de chasse spécifique leur permettant de récolter un dindon sauvage. La chasse au dindon sauvage doit s’effectuer avec un fusil de calibre 10 ou 12 avec des balles de grenailles (4, 5 ou 6). Il est aussi permit de chasser le dindon sauvage à l’arbalète et à l’arc. Méchant défi !
À noter que lors de ces jours de chasse, il n’est permis de chasser qu’au courant de la période comprise entre une demi-heure avant le lever du soleil et midi. Il est important de mentionner, pour les gens qui ne sont pas encore familier avec cette chasse, qu’il est uniquement permis de récolter les dindons sauvages ayant une barbe sur la poitrine. La majorité des mâles ont une telle barbe, bien visible, alors qu’environ 10% des femelles sont aussi porteuses de la dite barbe.
Une formation d’une journée est actuellement requise et permet d’obtenir une certification « de compétence » à la chasse au dindon sauvage, à la sécurité en forêt et offre du même coup une sensibilité au respect de la propriété privé. Nous reviendrons sur l’obligation de cette formation ou non dans un prochain article.
Si je vous dis « Maladie de la vache folle », cela vous fait penser à quoi ? À la première pensée, vous allez peut-être me dire : « La belle-mère» ou encore une personnalité connue! Mais si je vous dis « Maladie Débilitante Chronique (MDC) », vous pensez à quoi ?
Avant cet article, j’aurais bien été embêté de vous répondre! Pourtant, tout bon chasseur (deux sexes confondus) devrait connaître ce terme qui pourrait bien vous en coûter la vie! C’est suite à un courriel de mon père que j’ai appris l’existence de cette maladie évolutive, qui se présente sous une forme d’encéphalopathie spongiforme transmissible au même titre de la maladie de la vache folle!
C’est bien beau tous ces termes de scientifiques, mais qu’est ce que cela veut bien dire pour le commun des mortels? C’est très simple! C’est tout simplement une maladie qui s’attaque directement à la partie neurologique (les neurones) et psychique du cerveau entrainant des lésions de l’encéphale (le cervelet et le tronc cérébral). L’important dans tout cela, c’est de retenir que c’est une maladie mortelle. Nous en entendons parfois parler sous le terme plus facile « Maladie du chevreuil »
Pour en savoir d’avantage sur le sujet, je vous invite à lire le document pdf d’Isabelle Mckenzie du Ministère de l’agriculture, pêcheries et alimentation du Québec (MAPAQ).
Outch !
On m’a fait parvenir cette photo d’un orignal avec, sans aucun doute, un record de panache !
Mais je me demande bien si c’est une vraie photo d’un orignal bien réel ou s’il s’agit d’un montage… En tous cas, s’il s’agit d’un montage, il est drolement bien réussit !
L’histoire ne dit pas comment le chasseur s’y est pris pour le sortir du bois !
Votre opinion