Voici le contenu type d’une trousse de premiers soins pour le camping. Cette trousse est un peu moins élaborée qu’une trousse pour un voyage de pêche dans le grand nord ou pour un voyage de chasse plus risqué.
Elle contient plusieurs éléments qui ne règlent pas tout mais qui sont fort utiles en attendant les secours d’urgence et pour soulager les ti-bobos des enfants.
– bouteilles d’eau stérile
– solution antiseptique (par exemple chlorhexidine)
– quelques compresses et rouleaux de gaze stérile
– ruban adhésif
– pansement adhésif
– petite paire de ciseaux
– petite pince poitue
– compresse froide (froid instantané)
– 2 paires de gants stériles
– bandage triangulaire
– épingles de sûreté
– tampons d’alcool
– tube d’onguent antibiotique (exemples : Baciguent, Polysporin, …)
– comprimé anti-douleur et anti-inflammatoire
– thermomètre
– petit manuel du secourisme
– numéro de téléphone du centre anti-poison (1-800-463-5060)
– comprimé anti-nausée (exemple : Gravol)
– comprimé anti-diarrhée
– comprimé anti-allergie (antihistaminique)
– un crayon anti-piqûre d’insecte
Une fois de plus cette année nous allons passer une belle semaine de pêche dans le nord. Vive les vacances au Québec ! Nous avons tellement de beaux endroits de villégiature. Nous allons nous amuser sur le réservoir du Poisson Blanc.
Nous y avons été un petit 4 jours l’an dernier, question de le découvrir. Comme l’expérience vu convaincante, nous avons décidé d’y retourner et d’y passer plus de temps.
Question bien sûr d’y découvrir de véritables endroits magiques… Car l’an passé, en seulement quelques heures de pêche, nous avions récolté plusieurs dorés et achigans. Nous nous étions également mesuré avec quelques brochets qui n’ont cependant pas voulu coopérer…
Pour l’hébergement nous allons au Camp Sylvestre qui offre des chalets assez spacieux avec tous les services dont nous pouvons avoir besoins. C’est vraiment quelque chose qui me convient quand je pars dans un petit voyage en famille.
Avec mon garçon qui a trois ans et demi, pour la pêche dans le nord, je préfère encore un chalet à la tente pour un séjour d’une semaine. Le chalet que nous louons est situé à Notre-Dame du Laus. Un beau petit coin.
Le réservoir offre aussi de la truite grise, mais les profondes fosses sont loin de notre campement. Si la pêche est fructueuse avec les trois autres espèces, et que la température s’annonce clémente, il est bien possible que nous irons tenter notre chance.
Nous vous en reparlerons… J’ai tellement hâte !
J’adore ces photographes qui parviennent à saisir les moments intimes de la nature.
Tel qu’en fait foi cette prises photographiques d’une chicane de couple…
En plein querelle alimentaire ou en plein partage ? Il n’y a que le photographe qui le sait…
Si on aggrandit la partir de la photo entre les deux becs, voici ce que l’on voit…
on constate qu’il s’agit d’une abeille butineuse…
avec les pattes pleines de pollen…
Miam miam !
outch !
imaginez déjà d’avoir à embarquer ce poisson dans la chaloupe…
aller jouer avec dans l’eau !
😉
croyez-vous que c’est un vrai poisson ?
sinon, méchant bon montage…
La chasse au dindon sauvage semble d’or et déjà plus difficile. Le dindon sauvage est intelligent et semble porter de mieux en mieux son nom ! Il sait déjà qu’il doit fuir les humains. Nous avons vu beaucoup moins de dindons sauvages en bordure des champs que l’année dernière. Je vous raconte mon résultat de chasse au dindon sauvage 2008
Certes, nous les entendons le matin tôt « chanter ». Mais ils ont tôt fait de devenir silencieux et de se rendre furtif. Lors de la première semaine de chasse (je chasse en Montérégie, zone 8 sud), j’ai entendu plus de dindons sauvages que lors de la seconde fin de semaine. Je n’ai pas eu la chance d’en voir un de près lors du premier week-end.
Dès le premier jour, la nature est au rendez-vous… dans les lueurs de l’aube, je peux apprécier pleinement, un voilier après l’autre, des outardes passant devant le lever de soleil…
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