C’est un fait connu, à chaque année de nombreux, pour ne pas dire des milliers de chevreuils perdent la vie sur la planète après avoir été happé par des automobilistes ou camionneurs.
Un automobiliste allemand conduisait sur l’autobahn en Allemagne à 225Kph dans sa BMW Z4, lorsque soudainement il frappa un chevreuil…
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Et oui, les sangliers sont sauvages chez nous! Pas besoin de lâchers, grâce à une bonne gestion de la part des chasseurs ces dernieres années, de nombreuses companies vagabondent de territoire de chasse en société, de société en ACCA… Bref, toutes sortes d’organisations de chasse avec des statuts différents (pourquoi faire simple quand on peut compliquer?)
Il faut bien reconnaître que le sanglier est très convoité chez nous… Il prime sur n’importe quel autre gibier, non pas par sa valeur, mais par le plaisir éprouvé en le chassant.
Nous sommes au nombre de 15 sociétaires pour 350 hectares de terrain. Mais nous avons la chance d’avoir sur ce petit terrain une faune favorable au chevreuil, et au sanglier. Pas de cerf, malheureusement… Nous avons aussi des Lynx (réintroduits par les écologistes) et parfois quelques chamois, qui viennent des Alpes toutes proches…
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La saison de chasse au chevreuil, 2008 à la carabine vient de terminer avec un goût amer de déception. Notre groupe de trois (3) chasseurs n’a pu que récolter une petite femelle. En l’espace de trois (3) semaines de chasse pratiquement intensive, nous n’avons vu aucun chevreuil mâle (Buck). Au début, je croyais que nous avions été simplement malchanceux, mais après plusieurs conversations avec d’autres chasseurs à travers le Québec le résultat est le même! Que des femelles tuées et pratiquement pas de signe de vie de chevreuil mature!
C’est là que mes méninges se sont mises à fonctionner afin de trouver une explication logique à la question : « Où sont passés les chevreuils ? », mais surtout une excuse consolante face à la situation. Voici les quelques hypothèses qui m’ont porté à croire que ce n’était pas la faute de ma technique de chasse :
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C’est une réalité, le coût de plus en plus dispendieux de nos armes de chasse peut parfois être un frein à leur utilisation. Lorsque la crosse et le fût qui décore notre arme sont constitués de bois nobles comme le noyer, le frêne, l’érable, le chêne et même l’acajou et l’ébène, on désire plus qu’autrement conserver leur éclat le plus longtemps possible.
Comment contourner l’usure du bois dans des environnements tel que les marais, la cache flottante, la caleuse ou la boue des champs agricoles? N’oublions pas que plus souvent qu’autrement, les meilleures journées de chasse ont lieu par des temps exécrable, pluie, vent, verglas, neige, humidité extrême et température froide.
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Certaines personnes ont eu de mauvaise expérience en cuisinant pour la première fois de l’outarde. Malheureusement ces personnes sont maintenant quelque peu réticentes à tenter l’expérience de nouveau.
Pourtant, lorsque l’outarde est bien apprêtez, elle est non seulement des plus succulente, mais en plus, la viande peu être très tendre.
Bien souvent, les gens font trop cuire l’outarde. D’autres fois, elle est cuite dans un poêlon à une chaleur trop faible, ainsi la viande ne saisie pas, prend beaucoup de temps à cuire, le jus sort. Finalement, l’outarde est semi bouillie et mal cuite. Elle raidit, et deviens quasiment caoutchouteuse. Pas trop mangeable finalement.
Il y a beaucoup d’excellente recette qui existent et vous en trouverez plusieurs dans note Menu supérieur « Recettes ».
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