Déjà en 2008, nous en parlions dans notre article sur les « Tiques du chevreuil ». Voilà qu’au moment où le soleil et que la chaleur clémente font leur retour, l’Agence de la santé publique du Canada publie un communiqué intitulé « Maladie de Lyme: pourquoi vous devez tenir compte du présent avis ».
Juste pour l’année passée, on a enregistré déjà 500 cas à l’échelle de pays. Au Québec, le Ministère Québécois de la Santé, quant à lui, a été informé de cent quatorze (114) cas de maladie de Lyme en 2013. Pratiquement le triple lorsqu’on compare avec 2012 où seulement 42 cas avaient été rapportés. Nous sommes bien loin de la moyenne annuelle de 16 cas entre la période de 207 à 2011. Toujours selon l’information obtenue, nous comptons au minimum un cas de maladie de Lyme dans onze régions du Québec. À elle seule, la Montérégie a enregistré cinquante-sept (57) cas en 2013.
Fascinent, j’ai développé un intérêt pour cette nouvelle espèce qui cohabitait mon territoire de chasse, et ce, bien avant l’ouverture officielle de la chasse expérimentale en 2005 aux dindons sauvages. Je ne vous cacherai pas que mes premières expériences de chasse dans le cadre du programme de chasse expérimentale fur très productif. Dans ces belles années, nous avions besoin de peu pour récolter un Buck. Par contre, les années qui suivirent l’ouverture officielle de la chasse aux dindons sauvages au Québec m’ont forcé à revoir ma technique.
Comme plusieurs d’entre vous, j’étais, pour utiliser une expression bien de chez nous, un « Débutant » en matière de chasse aux dindons sauvage pour ne l’avoir jamais pratiqué outre qu’au Québec. J’ai donc commis plusieurs erreurs de débutant que j’ai dues rapidement corrigé entre chaque saison de chasse pour améliorer ma technique et garder toutes les chances de mon bord.
Voici donc 5 erreurs de débutant à ne pas répéter pour augmenter vos chances de succès :
1. Caller avant le lever du jour
Qui n’est pas un peu empressé de récolter son dindon dès la première journée d’ouverture. Cela peu, vous poussez à caller dès les premières lueurs du jour. Erreur fatale … aucune dinde n’émet de gloussement en grande quantité et encore moins avec vigueur avant que les mâles des alentours ne l’aient encore fait. Retenez-vous et laissez travailler vos appelants que vous avez disposés dans une aire ouverte quelques minutes (15 à 30 minutes) avant les premières lueurs du jour.
Oui, vous avez bien lu : du gibier sauvage au menu de nos restaurants gastronomiques, et ce, dès l’automne prochain! Au début lorsque je me suis mis à lire le courriel de Luc Tremblay, investigateur de la pétition contre un projet-pilote du Parti Québécois, je me croyais devant un courriel indésiré! À l’intérieur de son court message, quelques liens vers d’autres articles m’ont rapidement fait réaliser le sérieux et l’absurdité d’un projet-pilote sur le gibier sauvage!
Pour une ixième année, la Fondation de la faune du Québec a sortie son calendrier fétiche. Cette année le sujet porte sur les « Fascinantes histoires de migration » pour de nombreuses espèces migratrices.
Le Québec regorge d’habitats aux grandes diversités servant de terre d’accueil à de nombreuses espèces migratrices année après année. On n’a quand penser à la forêt boréale, les milieux humides et le Saint-Laurent qui à chaque printemps se transforment en de véritables pouponnières regorgeant de vie.
Que l’on soit un simple observateur ou un grand passionné de cette nature, il est possible pour chacun de vous de contribuer à conserver ces milieux humides et protéger cette biodiversité. Le calendrier 2014 vous présente 13 espèces qui migrent au Québec accompagné d’histoires incroyables de migration.
Aidez la Fondation de la faune du Québec à poursuivre sa mission en faisant un don de 25 $ et plus. Vous recevrez un exemplaire gratuit du calendrier en remerciement de votre don.
Que l’on soit un chasseur ou non, la réputation de l’Île d’Anticosti n’est plus à faire lorsqu’il est question de chasse ou simplement d’aller y passer un séjour en nature durant l’été. Avec une population supérieure è 166 000 têtes, la chasse au chevreuil est devenue un rêve incontournable pour tout passionné de chasse. Ce n’est pas pour rien que l’île d’Anticosti est depuis plus d’un siècle un des plus beaux joyaux naturels du Québec.
Encore cette année, Sépaq Anticosti offre son forfait de chasse expérimentale aux chevreuils. Voulant effectuer une étude permettant d’évaluer les effets du broutage du cerf sur la forêt anticostienne, le gouvernement via la Sépaq offre de vivre une expérience exceptionnelle dans d’immenses enclos érigés à la suite d’une coupe forestière.
Les secteurs de chasse sauront plaire aux sportifs et leur permettront, entre autres, de pratiquer la technique de chasse en battue. Toutefois, prenez note que les chasseurs ont l’obligation de former un groupe de quatre à cinq chasseurs lors de l’inscription.
Le forfait qui comprend :
- Le transport aérien de Mont-Joli;
- Cinq jours sur l’île, dont quatre jours complets de chasse;
- Le transport sur l’île (transport en commun);
- Un véhicule tout-terrain par groupe de chasseurs;
- L’hébergement en camp rustique équipé de chauffage, d’éclairage et d’un poêle au propane, du nécessaire pour la cuisine et d’une toilette sèche; (il n’y a pas de réfrigérateur);
- Le permis de chasse scientifique permettant la récolte de trois cerfs sans bois ou d’un mâle et deux femelles dans certains secteurs et à des périodes déterminées;
- Deux boîtes (maximum) pour le transport des cerfs;
- Possibilité de chasse de groupe;
- Gardien de territoire (ne pas confondre avec un guide) pour la logistique du séjour et l’enregistrement du gibier.
12 avantages de choisir Sépaq Anticosti pour chasser le cerf de Virginie :
- Concentration de cerf très élevée : 20,9 cerfs/km2 (Total de 166 000 cerfs de Virginie sur l’île d’après l’inventaire 2006 du MRN)
- L’absence de prédateurs rend le cerf plus actif durant le jour
- Le régime alimentaire particulier des cerfs d’Anticosti confère à leur viande un goût plus raffiné
- L’isolement protège le cerf des maladies et des tiques souvent présentes ailleurs
- La possibilité de récolter 2 cerfs par chasseur ; mâle, femelle ou faon
- Des territoires exclusifs d’une superficie imposante
- Un service exemplaire et des guides hors-pairs
- Des forfaits pour tous les goûts et tous les budgets
- Des promotions autant pour la relève que les habitués
- Un tirage au sort exclusif aux résidents du Québec intéressés par les séjours de chasse sans guides
- Des hébergements d’une grande qualité, que ce soit les auberges, les chalets ou les camps rustiques
- Que vous soyez seul ou qu’il manque un chasseur à votre groupe, nos conseillers peuvent vous jumeler à d’autres passionnés de la chasse au cerf
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