Ma douce moitié a tout dernièrement suivi le séminaire sur le dindon sauvage dans le but d’obtenir son attestation! Suite à la réussite de son cours, le ministère lui fait suivre un mémo l’informant que le diplôme en papier pour le Dindon sauvage était maintenant chose du passer comme en témoigne cette extrait :
« Vous avez complété le séminaire sur le dindon sauvage durant les deux derniers mois et mis à part le message électronique de confirmation, vous n’avez encore rien reçu. Sachez que jusqu’en décembre dernier, les participants au séminaire recevaient une attestation sous la forme d’un diplôme en papier, peu pratique à transporter sur les lieux de chasse. Désormais, l’attestation se présentera sous la forme d’une carte en plastique, format carte de crédit, beaucoup plus solide et durable. Nous recevrons les premières attestations en plastique la semaine prochaine, et nous les transmettrons par courrier à toutes les personnes en attente, en ordre chronologique. Prévoyez donc attendre encore quelques semaines avant de recevoir la nouvelle édition de votre attestation de réussite du séminaire québécois sur le dindon sauvage. L’envoi de toutes les attestations sera complété bien avant l’ouverture de la saison de chasse au dindon 2009. »
Enfin, le ministère se déniaise à nous fournir un certificat à la hauteur de son usage! Fini la feuille 8 1/2″ par 11″ plier en quatre (4) au côté de notre permis de chasse!
Je me suis donc posé la question si nous, détenteurs de diplôme en papier, pouvions faire la demande pour obtenir la nouvelle attestation sous sa toute nouvelle forme ? J’ai donc contacté le service de Sécurité nature pour en savoir plus long.
Pour l’instant, le processus n’est pas encore complètement officialisé. Nous serions en mesure de nous donner plus de détails de manière officielle d’ici la fin mars 2009.
Entre temps, le service de Sécurité nature offre la possibilité d’obtenir un remplacement de son attestation papier par une carte plastifiée. Pour se faire, vous devez communiquer avec eux au (418) 622-4006 et leur faire parvenir un chèque ou mandat-poste au montant de 15.00 $
J’ai observé un couple de roselins familiers à ma mangeoire. Il y viennent tous les jours. Ils sont pourtant loin de leur aire de répartion publiée dans mon guide d’identification des oiseaux d’Amérique du Nord. Remarquez l’absence de sourcil blanc au dessus de l’oeil de la femelle, qui est un trait distinctif de l’espèce.
J’ai fait cette observation en banlieue de Montréal, sur la Rive-Sud du Saint-Laurent.
Voici quelques photos d’oiseaux qui ont été prises le 14 janvier 2009. Je les ai vus de l’intérieur de ma maison. Ils sont venus manger les graines des cônes de l’épinette qui se trouve sous la fenêtre de ma chambre à coucher. Ils semblaient très habiles à aller cueillir les graines qui se trouvent à l’intérieur des cônes d’épinettes.
Une petite vérification dans mon guide d’identification a tôt fait de révéler qu’il s’agissait de becs croisés à ailes blanches.
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La fédération des chasseurs et pêcheurs a tout récemment réalisé un sondage auprès de plus de 3000 chasseur québécois dans le cadre du prochain plan de gestion du cerf de Virginie.
Voici le résultat de se sondage, vous verrez que les chiffres parlent d’eux-mêmes.
On a posé la question suivante : « Seriez-vous d’accord de mettre en place des mesures pour limiter la récolte des jeunes mâles, si oui laquelle ? » | Pourcentage des répondants |
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Interdire la récolte de mâles de moins de 4 pointes dans le but d’augmenter le nombre de mâles matures au sien du cheptel ? | 29 % |
Limiter, une année sur deux, l’abatage d’un cerf avec un panache d’au moins 3 pointes sur un côté ? | 16 % |
Limiter à chaque année la récolte de cerfs comportant au moins un panache d’au moins 3 pointes sur un côté ? | 19 % |
Limiter tous les ans la récolte d’un cerf avec un panache d’au moins 3 pointes sur un côté via un tirage au sort ? | 6 % |
Aucune mesure pour ajuster les sexes | 30 % |
En résumé, 70 % des répondants du sondage sont d’accord à dire qu’il faudrait agir dans le but d’améliorer la qualité du cheptel et de permettre au jeunes mâles de vieillir quelques années de plus avant d’être récoltés.
Je suis tombé sur une photo d’un pic chevelu que j’avais prise durant la belle saison. Ce coloré oiseau s’était perché sur le toît de mon camp dans les Laurentides!
J’ai décidé de partager le souvenir de cette rencontre avec vous. affûté.
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