Le sanglier sauvage (nom latin; sus scrofa), que les américains appellent wild boar ou feral pig est une espèce qui a été introduite sur notre continent il y a bien longtemps. Les premières introductions remonteraient à l’époque de Christophe Colomb, aux touts débuts de notre colonie.
Le sanglier est l’ancêtre de nos porcs domestiques. C’est un animal intelligent et hautement adaptable (très rustique). Il est omnivore, peut survivre et se reproduire dans une multitude d’environnements allant de climats très chauds et humides à très froids comme la limite Sud de la Sibérie.
Il pourrait entrer en comprétition avec notre cerf de Virginie et d’autres animaux indigènes au Québec en les supplantant dans leur niche écologique. Il peut également leur communiquer nombre de maladies, faisant d’autant plus de dommages dans les populations sauvages.
Mais ce n’est pas tout. Cet animal que l’on nomme également cochon sauvage, s’alimente à même la nourriture du bétail domestique, ce qui coûte une fortune aux éleveurs. Il fait des dommages aux cultures de céréales en couchant les champs de blé, d’avoine et de maïs notamment. Les mêmes maladies qu’il transmet aux animaux sauvages sont également transmises aux animaux de ferme, ce qui cause encore plus de tort. On peut nommer parmi celles-ci la trichinose et la maladie de Lyme qui sont également transmissibles à l’homme.
Au cours des dernières années, une explosion démographique de la population de sangliers aux Etats-Unis a agrandi son aire de répartition. Voir graphique ci-dessous;
Si bien qu’aujourd’hui, plusieurs provinces Canadiennes accueuillent des hordes de cochons sauvages.
Des mesures récentes ont été rendues nécessaires, étant donné la prolifération rapide de cet animal et des problèmes qui en découlent.
Trop souvent, les pêcheurs s’attardent trop sur le type de leurre qu’ils utiliseront, sans en saisir toutes les raisons, pour berner leur proie. À la base, le réflexe est légitime, car nous voulons simplement que le poison morde à l’appât. Par contre, le succès des pêcheurs d’expériences va au-delà du simple choix de l’appât. Les pros exploiteront à leur plein potentiel les sens du poisson (la vue, l’ouïe et la perception des vibrations) afin de triompher.
Pour mieux comprend le comportement de nos poissons, il faut tout d’abord en savoir plus sur la vision des poissons. Nous verrons dans toute sa simplicité comment fonctionne la vision des poissons dans les différents plats d’eau et comment exploiter se savoir de connaissances pour déjouer notre proie.
Souvent lorsque je discute de ma passion pour la chasse avec les gens, ceux-ci me demandent s’il est vraiment impossible de vivre de la chasse? Il m’est difficile de répondre, car je ne connais personne dans mon entourage qui a fait de la chasse son métier. Par contre, je peux vous dire que je consacre pratiquement tous mes temps libres à la chasse et cela 12 mois par année.
Dernièrement, je me suis amusé à comparer les activités qui occupent Michel Therrien dans son dernier article Sentier Chasse-Pêche du mois de février 2010 avec les miennes. Selon lui, « il demeure possible de vivre et de cheminer dans un environnement de chasse 12 mois par année ».
Pour y arriver, voici le calendrier de chasse d’un véritable maniaque…
Qui dit perdrix blanche, pense immédiatement à caribou. Cependant, il est possible pour le chasseur de petit gibier de pratiquer la chasse à la perdrix blanche sans nécessairement prendre un forfait de chasse aux caribous.
La chasse aux lagopèdes des saules, mieux connus sous le nom commun de perdrix blanche, est une expérience hivernale s’approchant de prêt au sport extrême. Le déplacement dans la neige molle et épaisse nécessite une bonne qualité sportive quand on ajoute le poids des vêtements d’hiver et les températures froides de -21 °C. Il va de soit d’avoir une bonne paire de raquettes pour facilité nos déplacements dans la neige.
Il s’agit du pont qui méne vers la route #1 à Calgary en provenance de Banff en Alberta.
Les autorités ont construit ce deuxième pont car il y avait trop d’accidents causés par les animaux (surtout les caribous) qui avaient l’habitude de traverser à cet endroit, puisqu’il s’agit de leur route migratoire.
Ils ont vite compris qu’ils avaient leur propre pont…
(cliquez pour agrandir l’image)
Et il y en a pour dire que les animaux sont stupides!!!
Vraiment???
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