Il fallait que je vous donne le tuyau, c’est une trop belle sortie en famille;
Nous sommes allé à la place Versailles à Montréal aujourd’hui. C’est le dernier centre d’achat qui y tient une ferme de Pâques à chaque année. Cette foi-ci, j’avais emporté du blé d’inde que j’achète à la poche ($12 pour 40 ou 50 livres). Pas besoin de garrocher des pièces de $1.00 dans les distributeurs pour une petite poignée de moulée. On a eu beaucoup de fun pour pas cher!
Voici l’hyperlien du centre commercial pour plus d’informations; Place Versailles
Je vous conseille vivement d’y aller. La Ferme de Pâques est présente du 18 mars au 3 avril cette année.
C’est vraiment très beau, comme vous pouvez le voir sur les photos. affûté.
Bonne nouvelle, la SEPAQ a fini par appliquer des mesures pour prévenir que des fraudeurs s’inscrivent pour revendre le permis d’accompagnateur, ou bien que des chasseurs inscrivent plein de monde, des personnes qui n’iront pas à la chasse, pour avoir plus de chances de remporter un permis.
Source : www.sentierchassepeche.com
Nous allons avoir plus de chances de gagner aux tirages au sort maintenant.
Affûté.
Les vieux de la vieille et les débutants de chasse aux caribous seront heureux d’apprendre que le ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) met de nouveau disponible les cartes de localisation des caribous par satellite via son site web.
Rappelons que le ministère avait retiré ce service en août dernier (2009) de l’Internet. La Fédération québécoise des chasseurs et pêcheurs (FédéCP) avait, à ce moment-là, dénoncé avec ardeur la décision du ministère de suspendre l’affichage hebdomadaire des cartes de localisation des caribous migrateurs munis de colliers émetteurs.
Soulignons qu’en premier de tout se service manifeste un grand intérêt pour tous (chasseur ou non). Ces cartes permettent de suivre le déplacement des quelques douzaines de caribous satellite à l’échelle de ses territoires de migration.
Dans quelques semaines, je vais accueillir à la maison mon nouveau compagnon de chasse : un splendide Labrador brun. Comme je désire en faire un maître dans l’art de rapporter, je me suis penché sur différentes techniques pour dresser son chien rapporteur.
Passif de nature, j’ai arrêté mon choix sur une technique axée sur la volonté du chien et l’action de récompense spontané. Je conseille fortement ce genre de comportement qui avec le temps donnera des résultats uniformes. De plus, cette technique à l’avantage de ne pas infliger quelconque traumatisme à votre futur champion.
Le sanglier sauvage (nom latin; sus scrofa), que les américains appellent wild boar ou feral pig est une espèce qui a été introduite sur notre continent il y a bien longtemps. Les premières introductions remonteraient à l’époque de Christophe Colomb, aux touts débuts de notre colonie.
Le sanglier est l’ancêtre de nos porcs domestiques. C’est un animal intelligent et hautement adaptable (très rustique). Il est omnivore, peut survivre et se reproduire dans une multitude d’environnements allant de climats très chauds et humides à très froids comme la limite Sud de la Sibérie.
Il pourrait entrer en comprétition avec notre cerf de Virginie et d’autres animaux indigènes au Québec en les supplantant dans leur niche écologique. Il peut également leur communiquer nombre de maladies, faisant d’autant plus de dommages dans les populations sauvages.
Mais ce n’est pas tout. Cet animal que l’on nomme également cochon sauvage, s’alimente à même la nourriture du bétail domestique, ce qui coûte une fortune aux éleveurs. Il fait des dommages aux cultures de céréales en couchant les champs de blé, d’avoine et de maïs notamment. Les mêmes maladies qu’il transmet aux animaux sauvages sont également transmises aux animaux de ferme, ce qui cause encore plus de tort. On peut nommer parmi celles-ci la trichinose et la maladie de Lyme qui sont également transmissibles à l’homme.
Au cours des dernières années, une explosion démographique de la population de sangliers aux Etats-Unis a agrandi son aire de répartition. Voir graphique ci-dessous;
Si bien qu’aujourd’hui, plusieurs provinces Canadiennes accueuillent des hordes de cochons sauvages.
Des mesures récentes ont été rendues nécessaires, étant donné la prolifération rapide de cet animal et des problèmes qui en découlent.
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