J’ai toujours été fasciné par l’art mettant en vedette la nature et ces rejetons. C’est incroyable comment nos artistes peuvent avoir un talent fou lorsqu’il se met à manier des instruments hors du commun pour réaliser leur art.
Émotion Chasse & Pêche voudrait partager avec vous cet sculpture d’ours noir sortant directement du monde imaginaire de Randall D. Boni, cet artiste sculpteur du Tennessee.
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Un tel art est parfait pour aménager son chalet dans l’nord. Reste juste à voir s’il livre au Canada! 🙂
Qui n’a pas déjà eu des problèmes avec les écureuils voleurs de graines aménagé pour les oiseaux! L’histoire qui suit c’est passé sur le terrain d’un de nos lecteurs l’été passé. La visite de cet ours noir est très particulière.
Lors que je regarde ces photos, une seule question me vient en tête…
La corde est faite en QUOI? 🙂
Vous trouverez ci-dessous le lien direct vers notre petit guide qui vous expliquera la procédure pour naturaliser vos ailes de dindon sauvage afin de les utiliser sur un de vos appelants de chasse.
Vous serez surpris du résultat : un appelant réaliste de dindon sauvage !
Regardez la photo ci-contre… il s’agit du même appelant… dont l’un habillé des plumes d’ailes…
Consultez le guide et jetez un coup d’oeil aux photos si vous êtes sceptique.
Aussi, lorsqu’il y a un peu de vent, les plumes de vos ailes donnent du relief et un peu de vie à l’appelant…
Vous trouverez ce guide dans la section guide, à partir du menu supérieur.
Vous y trouverez aussi un autre guide expliquant comment procéder pour la queue du dindon sauvage.
Afin de maximiser vos avant-midi de chasse au dindon sauvage, l’utilisation d’un appelant mâle avec la queue en éventail est des plus suggérée. Le déploiement en arc de la queue permet souvent de faire réagir de jalousie territoriale un autre mâle.
Toutefois, je trouve que plusieurs appelants sur le marché offrant la queue du dindon sauvage dans cette position n’offre pas un réalisme à la hauteur de mes attentes. Où devrais-je dire, à la hauteur de la vue perçante de ce gibier des plus futé.
La chasse printanière au dindon sauvage 2009 a été remplie d’émotion pour l’auteur de ces lignes. Certaines journées étaient complètement mortes. Aucun dindon sauvage ne manifestant sa présence, ni vocalement, ni de sa personne. Alors que certaines autres journées, nous avions l’impression qu’ils se défiaient les uns et les autres tout autour de nous!
Voici ma première histoire de chasse au dindon sauvage que je vais vous raconter pour 2009.
Nous étions 3 ou 4 chasseurs, selon le jour, sur la terre semi boisée que nous louons à un agriculteur de la région. Cette terre et entourée d’autres terres à demi boisée et de champs d’agriculture. Il y a bon nombre de conifères matures dans le secteur. Tout est vraiment propice pour cette chasse enlevante. D’autant plus que dans notre prospection les jours précédents l’ouverture nous avions pu observer des groupes de dindons sauvages sur les terrains avoisinants.
Un matin assez tranquille, bien installé dans la noirceur la plus totale depuis plus d’une heure, aucun dindon sauvage ne se manifestait. J’avais fait à quelques reprises le cri typique du dindon sauvage matinal, rien n’y fit.
Environ 30 minutes après le lever du soleil, j’entendis le son caractéristique de l’envol d’un dindon sauvage dans un arbre à quelques dizaines de mètres dans mon dos. Aucun doute. L’excitation était vraiment à son comble car en avant de moi mes appelants étaient installés dans une clairière… très certainement à la vue du dindon sauvage qui vient de s’envoler de son perchoir nocturne.
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