Le dimanche commence à l’envers de la veille. Trois outardes vaillantes comme trois mousquetaires, de véritables éclaireurs survolent le champ de grain en arrière de nous. Nous nous déchainons sur nos différents appeaux pour les convaincre de venir nous voir… Sinon, ce sera la répétition de hier… Nous réussissons… voici d’ailleurs une photo de leur arrivée, tout juste avant de tronquer mon appareil photo pour mon fusil.
Nous avons aperçu deux voiliers d’oies blanches au loin, mais elles ne sont pas venues nous voir. hier, nous n’en avons pas vu. Nous avons donc espoir pour plus tard aujourd’hui.
Par la suite, nous avons réussi à faire descendre dans les appelants une série de petits voiliers d’une quinzaine d’oiseaux. Mais ils atterrissaient presque tout le temps dans le centre des appelants, ce qui ne nous permettait pas de tirer avant qu’elles ne lèvent de terre.
Par ailleurs, mauvaise journée pour moi, mon fusil semi-automatique s’est enrayé. Pas moyen de tirer plus d’un coup à la fois. Je dois engager le mécanisme manuellement. Alors je ne tire qu’un coup à la fois, et je regarde le voilier quitter. Néanmoins, mon père parvient à chaque voilier d’en récolter 2. Nous parvenons à notre limite rapidement et comme nous n’avons pas vu d’autres voiliers d’oie blanche, nous ramassons notre stock.
Et nous allons jaser et faire un peu de social avec les propriétaires qui nous permettent gentiment de chasser sur leur terrain…
sur la photo, c’est tu une vraie oie blanche avec les outardes ?
y sont-tu arriver les oies blanches ? en avez-vous eu des oies blanches ?